« J’ai soif » de vous, de toi. Il a soif de nous aimer et d’être aimé. Pour nous prouver combien nous lui sommes précieux. « J’ai soif » de vous, de toi. C’est comme s’il nous disait à chacun: « Viens à moi, et je comblerai ton cœur. Je guérirai tes blessures. Je ferai de toi une créature nouvelle. Je te donnerai la paix, même si tu dois passer par mille tourments. J’ai seulement soif de toi. Ne doute jamais de ma grâce, de mon désir de te pardonner, de te bénir, de vivre ma vie avec toi, chaque jour. » Demandons-lui chaque jour d’entrer dans notre vie et de s’en charger. Il le fera. Il réalisera des miracles dans notre vie. Et si nous lui demandions: « Pourquoi Seigneur, devrais-tu faire cela pour moi? Il nous répondrait: « Parce que j’ai soif de toi. » ». Mère Teresa
Le Christ sur la croix en criant « J’ai soif » nous dit qu’il se tient à la porte de notre cœur, jour et nuit. Même quand nous ne l’écoutons pas et que nous doutons que ce soit lui, il est là. Il attend de notre part le moindre signe, la réponse la plus imperceptible, qui lui permette d’entrer.
Chaque fois que nous l’invitons, il vient toujours sans la moindre hésitation. Il vient avec sa grâce et son désir de nous pardonner, de nous guérir. Il vient avec amour pour nous, qui surpasse tout ce que nous pouvons imaginer, l’amour même qu’il a reçu de son Père, notre Père. Il vient avec le désir de nous consoler et de nous rendre plus forts, de nous relever et de cicatriser nos blessures. Du haut de la croix, il nous répète, à chacun: « j’ai soif de toi ». Je t’aime, non pas pour ce que tu as fait ou n’as pas fait. Je t’aime pour toi, pour la beauté et la dignité dont mon Père t’a revêtu en te faisant semblable à la Trinité. Tout ce que nous avons à faire, c’est de demander et de nous abandonner totalement à lui. Il fera le reste.
Quand nous lui apportons notre péché, notre souffrance, il nous confirme à nouveau dans son amour. Nous lui donnons la joie de se manifester de nouveau à nous comme notre Sauveur et nous goûtons ainsi à sa divine miséricorde. Il n’y a rien qu’il ne puisse pardonner et guérir. Alors, allons vers lui et posons notre tête sur ses genoux, comme ses petits frères. Peu importe combien nous sommes loin de lui, combien nous l’avons oublié. Il a soif de nous, toujours. De nous tels que nous sommes. Il n’est pas nécessaire que nous changions pour croire à son amour. C’est son amour qui nous changera. Même si nous l’oublions encore, lui ne nous oublie pas. Si notre cœur nous condamne, son cœur est plus grand que le nôtre. Il se tient à la porte et frappe; si nous Lui ouvrons, il prendra son repas avec nous, et nous avec lui, de la même manière qu’il a invité Thomas à toucher ses plaies, à mettre sa main dans son côté. Dans cette joie pascale, nous sommes invités plus que jamais à faire l’expérience de la miséricorde et de l’Amour infini du Christ Ressuscité: Lui qui a vaincu la mort et rendue toutes choses nouvelles possible, exultons de joie ! Et à la suite de Thomas, disons-Lui aussi: Mon Seigneur et mon Dieu !
Cette miséricorde, nous sommes invités aussi à la vivre dans notre Eglise, dans notre paroisse d’Orléans Cœur de Ville, dans notre service, dans notre communauté, les uns avec les autres pour revenir à Lui et témoigner de cette Bonne Nouvelle du Christ Ressuscité en allant vers, en osant sortir de notre périmètre, de notre quartier, de notre clocher pour faire unité! Unité d’Église, unité paroissiale …
Au passage, le 2 juin, avec la journée diocésaine: synode en action; nous serons particulièrement invités à sortir, aller vers; à vivre cette unité ecclésiale: nous sommes Eglise, membre de Son corps; à ne faire qu’UN en Lui !
Caroline Delsol – Coordinatrice du Cœur de ville
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